...La gestion de classe renvoie à un défi qui se diversifie : le modélisateur doit se rendre disponible pour tous et pour chacun. Les élèves de leur côté doivent gérer une relation avec le groupe, avec l’enseignant et avec le savoir. C’est dans ce dédale de relations croisées que chacun doit «s’instruire, se socialiser et se qualifier»[1]. Alors, à quoi comparerais-je ma classe?
Vue de l’extérieur, elle ressemblerait à une ruche, non pour son bourdonnement, loin de là, mais parce qu’on y travaille fort et tous ensemble, de manière organisée, pour le meilleur résultat qui soit : le miel. Mais je ne me vois pas en reine, la seule à pondre des œufs encore moins en apiculteur extérieur à la vie du groupe. Je ne suis pas non plus disposée à laisser les faux bourdons aller à la « paresse».
[1] MELS, 2001. PFÉQ
Écrire commentaire